jeudi 31 janvier 2008

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Aux Commissions de la Gestion et du Contrôle parlementaire de l’Administration Fédérale Helvétique

A l’attention de l’attention courtoise et personnelle de MM

Président et Vice Présidents

Jean-Paul Glasson

Hansruedi Stadler

Pierre-François Veillon

Hans Hess

Et à l’attention personnelle de Mesdames et Messieurs les Membres de ces Commissions

ACTE DE DENONCIATION D’ACTIONS CRIMINELLES EXECUTES PAR DES PERSONNES OCCUPANT DES FONCTIONS GOUVERNEMENTALES ET D’ADMINISTRATION PUBLIQUE SOIT AU NIVEAU FEDERAL OU CANTONAL SUISSE.

N.B. Ceci est une traduction libre, l’original en langue italienne fait foi.

Genève, le 13 septembre 2007

Je soussigné Alessandro Vanno des Princes Vanni, Marquis de Roccabianca, citoyen italien né à Rome en 1941 et résidant à Genève, muni du permis “E” en tant que requérant “d’asile politique” depuis mars 2000, marié avec Madame Manuela Birgit Vanno, née Dahm en 1943, citoyenne des Etats-Unis d’Amérique et citoyenne helvétique par mariage,

DEMANDE

l’intervention immédiate des Commissions de la Gestion et du Contrôle parlementaire de l’Administration Fédérale Helvétique afin d’identifier et d’exclure de toute activité gouvernementale et des administrations publique les personnes ayant agit et qui agissent ENCOE contre les lois et la Constitution Helvétique et contre les Conventions des droits internationaux que la Suisse a signés et ratifiés, tels que le « Respect des Droits de l’Homme ».

Je précise que vos lois et les Conventions Internationales sont ignorées et bafouées de manière ignoble par ces personnes que je DENONCE publiquement par cet acte, en demandant que soit restauré et respecté l’Etat de Droit, respect qui est dû à tous les citoyens suisses comme à moi-même qui suis une des victimes de ceux que je dénonce.

Les documents dont je joins copie, tels que les lettres à Monsieur Christoph Blocher, Ministre du Département Fédéral de Justice et Police, au Responsable de l’Office des Migrations à Berne, comme à leurs “antennes” au Tribunal Fédéral de Lausanne, de Lucerne et de Bellinzona, ainsi qu’à Monsieur le Procureur Général Fédéral et MM les Procureurs Généraux Cantonaux, ainsi qu’aux autorités des gouvernements cantonaux de Genève (voir Maître Bertossa) et de Vaud, inclus les autorités médicales nommées, donnent une idée, même limitée, de l’ampleur de la corruption et des intérêts personnels qui interagissent dans mon histoire, mettant en lumière le fait qu’aucun citoyen suisse ou étranger qui s’adresse aux autorités publiques suisses, peut se sentir en sécurité et peut faire valoir le droit sacré de la loi, alors qu’il se trouve dans un pays civilisé muni d’institutions solides.

Une personne digne de foi, occupant un poste de niveau international, m’a averti que Monsieur Blocher, votre Ministre de la Justice, a parlé de mon cas avec le Procureur Général (General Attorney) des Etats-Unis, M. Gonzales, juste avant son “éloignement ignominieux” de toute charge gouvernementale, promettant de « me réduire au silence» (peut-être en planifiant ma mort comme cela a déjà été tenté à l’Hôpital Cantonal de Genève ?) en échange d’avantages pour sa personne comme pour ses entreprises.

On m’a également informé que certains « juges » fédéraux ont évalué mon cas comme ils ont évalué l’histoire de ma famille, suivant les “ordres” imposés et non le respect de la loi. Mes confidents ont souligné que tous mes mouvements (comme ceux de ma famille) sont soumis au contrôle minutieux et que nous sommes pousse a « morte certaine » au moyen de “tortures psychologiques” qui sont appliqués de manière notoire par des états scélérats et dictatoriaux.

Dans le cas exposé, la Suisse paraît être un “Etat scélérat” qui applique la peine de mort à des innocents, sans la sentence d’un tribunal et d’un jury, ce qui représente un grave déshonneur pour son peuple.

POUR TOUT CE QUI A ETE DIT CI-DESSUS

- j’invite les Commissions de la Gestion et du Contrôle Parlementaire de l’Administration Fédérale Helvétique de se réapproprier la tutelle de l’Etat et du Peuple Suisse, en concédant à ma personne ainsi qu’à ma famille la juste et due “dignité d’êtres humains”, qui est à protéger et défendre de toute action de persécution et d’abus de la part des autorités gouvernementales ;

- j’invite les Commissions de la Gestion et du Contrôle Parlementaire de l’Administration Fédérale Helvétique d’accepter les faits, démontrés par des documents inattaquables, et de restituer au peuple suisse les droits de mon don sur les études de nouvelles applications et de soins médicaux ;

- j’invite les Commissions de la Gestion et du Contrôle Parlementaire de l’Administration Fédérale Helvétique à m’écouter au sujet de ventes d’informations réservées de caractère interne et international de la part de « hautes personnalités de l’Etat » ;

- j’invite les Commissions de la Gestion et du Contrôle Parlementaire de l’Administration Fédérale Helvétique de réfuter toute forme de compromis ou de “raisons d’Etat” de la Suisse civile e neutre avec l’Arme des Carabiniers, responsables et mandataires de massacres et de la mort de milliers de vies innocentes, comme ceux du Corps des Marines et des Légionnaires français au Liban, à Nassirija en Irak et à la station ferroviaire de Bologne en Italie, tout comme la persécution contre ma personne et contre ma famille, en déterminant « l’autorité suisse » qui les protège et qui protègent ainsi les homicides commis pour contrôler militairement et « de manière occulte » mon pauvre pays, en échange d’argent de d’avantages personnelles, ce qui révèle l’existence de traitre parmi les dirigeants politiques et administratifs helvétiques ;

- je rappelle aux Commissions de la Gestion et du Contrôle Parlementaire de l’Administration Fédérale Helvétique mes hautes mérites, ma lutte de plus de quarante ans contre toute forme de violence et de terrorisme, les hautes finalités humaines et sociales de mon travail et la vaste documentation médico-scientifique déposée auprès de votre Département Fédéral de la “Justice”, qui prouvent ma parfaite santé mentale, mon équilibre psychique et ma capacité de séparer parfaitement le juste de l’injuste, protégeant en toute circonstance la vie humaine et les droits de l’homme.

Copie de ce document sera envoyée à tous les représentants des Chambres fédérales helvétiques, afin qu’ils soient informés des faits et pour leur permettre d’agir en conséquence. Je leur demanderai de prendre connaissance de tous mes documents, y compris de ma “Pétition” envoyé au Parlement Suisse en juin 2007.

Conformément à ma volonté d’obtenir le respect de mes droits et de ma vie, je demande que ma “position juridique” soit régularisée, après près de huit années de souffrances et de persécutions de la part de ceux que j’ai nommés plus haut.

Veuillez agréer, Messieurs, mes salutations distinguées.

Alessandro Vanno de’ Vanni

Avenue de Bel-Air 47 A, 1225 Chêne-Bourg