mercredi 4 juillet 2007

EL CONSEJO DE EUROPA LOS SORDOS Y LOS MUDOS DE LA HUMANIDAD - AHORA EN FRANCAIS - ENGLISH

LE CONSEIL DE L'EUROPE : les sourds et les muets de l'Humanité FRANCAIS - ENGLISH

Attention :

Ceci est une traduction libre de la lettre envoyée le 03 avril 2007 à M. Guido Bellati Ceccoli, President du Conseil de l’Europe, dont la version originale en langue italienne fait foi. Cette lettre a été envoyée par recommandée avec avis de réception le 4 avril 2007 depuis le bureau postal d’Annecy. Elle portait le numéro RA 13-025-000-0 FR et fut reçue par le Secrétariat du Conseil d’Europe le 10 avril 2007.



Alessandro Vanno de’Vanni

A l’attention personnel de
Monsieur l’Ambassadeur
Guido Bellati Ceccoli
Président des délégués des Ministres
Conseil de l’Europe
Avenue de l’Europe
F-67075 Strasbourg Cedex



Annecy, 3 avril 2007


Monsieur le Président,

En ma qualité de « réfugié politique » en Suisse depuis le 15 mars 2000, et bien que de nationalité italienne et par conséquent citoyen de l’Union Européenne, je demande par la présente la protection du Conseil de l’Europe et du Comité des Ministres de l’Union Européenne dans son ensemble. La raison en est que la Suisse m’a privé de tout document d’identité, de mon passeport italien et de tous les documents m’ayant appartenus, tout spécialement ceux provenant d’Italie, munis du sceau de l’Etat et qui représentaient la preuve documenté de ma « condition juridique internationale » et de mon droit à la demande d’asile qui en découlait, selon ce qui est prévu par la Convention de Genève de 1951 et les modifications et ratifications de la Suisse qu’elle reconnait mais qu’en réalité, comme dans mon cas, qu’elle n’applique jamais.

Pour les raisons exprimées ci-après, je me vois obligé de vous demander, Monsieur le Président, que la lecture de tout document me regardant soient interdit non seulement aux représentants italiens et suisses accrédités auprès des institutions européennes, mais aussi aux personnes de nationalité italienne et helvétique, à quelque niveau et quelque fonction que ce soit. En effet, je crains qu’ils puissent altérer, manipuler et/ou falsifier avec dol prémédité ce que je soumets à votre attention et à ceux qui sont en corrélation avec votre très haute fonctions au sein de l’Union Européenne et que je crois qu’ils peuvent et doivent avoir connaissance de la présente lettre que je vous adresse.

Cette exclusion doit également être appliquée à certains juges de la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour des raisons que je vais vous exposer de manière synthétique. Je demande à votre haute fonction de bien vouloir transmettre à ceux qui sont et seront intéressés par la connaissance des faits que je v ais vous exposer ci-après.

Giorgio Malinverni, qui est un « informateur des services de sécurité de la Suisse » et aussi l’un des experts les plus écoutés de « droit constitutionnel helvétique », construit des structures juridiques au nom et pour le compte de la Suisse afin de déformer, falsifier et annuler le sens des lois de ce « pays » apparemment et faussement respectueux des « droits et de la dignité de l’homme ». Toute explication ultérieure pourra être demandée par vos services à Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme par le truchement du dossier indiqué ci-après.

Vladimir Zagrebelsky, que est un personnage louche obéissant non pas tant aux lois de l’Etat italien, mais plutôt à des « groupes de pouvoir » impliqués dans ce qui doit être qualifié de « massacres d’Etat » qui ont ensanglanté mon pays et tué et blessé mes concitoyens. Tout renseignement ultérieur pourra être demandé par vos services à Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme par le truchement du dossier indiqué ci-après.

Les détails qui regardent les susmentionnés pourront être demandés à Monsieur le Président de la Cour Européenne, M. Jean-Paul Costa. Ils se trouvent dans un dossier que je lui ai remis le 26 mars 2007, accompagné d’une lettre recommandée avec avis de réception à son attention et expédié de l’office postal de la Ville de Sète en France.

J’ai évidement essayé de faire traduire en français et en anglais les documents que je vous remets, y compris la présente lettre, mais personne n’a voulu se charger d’une telle traduction, ma demande ayant suscité chez tous une vraie crainte.
Pourtant je ne crois pas aller au-delà de la réalité en affirmant que le pays qui m’accueille en tant que « requérant d’asile » inspire à ses résidents une crainte si élevée qu’ils craignent de graves conséquences pour eux-mêmes et leurs familles.

Après mon arrivée dans la Confédération Helvétique en 2000, je me suis marié avec une citoyenne des Etats-Unis qui possède également la nationalité suisse. Cette situation m’a permis, après cinq années de mariage, de solliciter la « nationalité facilitée », régulièrement déposée avec les documents requis par le droit national suisse. De nombreux obstacles ont été placés entre moi et l’acquisition de la nationalité suisse qui m’aurait pourtant permis de vivre en tant que personne libre, dans la normalité et la sérénité, d’autant plus que j’ai déjà 65 ans et suis gravement malade. La nationalité suisse m’aurait également permis d’éventuellement annuler ma position de « requérant d’asile ».

Vous constaterez à la lecture de la lettre qui m’a été envoyée par le Département Fédéral de la Justice, Section Migrations, en date du 13 février 2007, que mon dossier a été « suspendu » pour cause d’ « enquête pénale pendante », pourtant inexistante.
La lettre datée du 24 février 2007, vous permettra de relever que suis victime d’un chantage de l’Etat helvétique qui refuse de me restituer mes papiers d’identité, sauf si je renonce expressément à ma condition de « refugié ».
Je me permets de vous faire noter que les lettres munies de l’emblème de la Suisse et portant le libellé de « Confédération Helvétique » sont dépourvues de timbres et de tampons de la poste. Le papier à lettres qui se trouvait dans les enveloppes est une simple photocopie. Tout cela fait preuve d’un maximum d’anonymat, permettant à « l’autorité de cet Etat de droit ( ?) » de nier l’origine et le contenu, décourageant ainsi toute personne qui voudrait appeler cet Etat à ses responsabilités.

Je vous communique, Monsieur le Président, que contrairement à ce qu’affirme la Confédération, elle procède à l’arrestation illégale de nombreux requérants d’asile, les renvoyant vers des « nations » tiers pour des raisons prévisibles, les faisant ainsi disparaître officiellement « de leur protection ». Il n’est pas faux de dire que quelques-unes de ces personnes « arrêtées » sont tuées ou envoyées à la mort.

J’ai dûment informé M. Dick Marty de ces faits, comme également les autorités centrales et locales, afin d’empêcher tout dommage contre ma personne comme la menace, l’extorsion etc. Personne ne m’a jamais démenti ni appelé en justice.
Je demande que les « pseudo messieurs » susmentionnés soient éloignés de leur charge et de toute autre charge au sein de l’Union Européenne et du Conseil de l’Europe.

Les institutions et les personnes que j’indique ci-après comme étant les « destinataires justes et indispensables » de la présente lettre, des lettres susmentionnées ainsi que de la lettre datée du 26 mars 2007 qui porte ma signature authentifiée par le syndic de la Ville de Sète en France, sont les suivants :
- Messieurs les représentants permanents auprès du Conseil de l’Europe (et non pas du Conseil d’Etat, erreur dans l’original en langue italienne) à l’exclusion de l’Italie et de la Suisse ;
- le Comité des Ministres en charge, à l’exclusion de l’Italie et de la Suisse ;
- les membres de toutes les commissions intéressées.

Dans l’attente de votre confirmation de réception de la présente, je vous prie de recevoir l’expression de ma grande estime et de mes sentiments respectueux.



Alessandro Vanno



Annexes : documents susmentionnés

ENGLISH VERSION

The European Council : the Deaf and the Dumb of Humanity
Attention : This is a free translation of the letter I sent to M. Guido Bellati Ceccoli, President of the European Council on April 3, 2007. The Italian version here published is the official version. The letter was sent registered on April 4, 2007 from the postal office in Annecy, in France and bore the number RA 13-025-000-0. It was received by the European Council's office on April 10, 2007. Alessandro Vanno de'Vanni.
To the personal attention of Mr Ambassador Guido Bellati Ceccoli, President of the European Council, F-67075 Strasbourg Cedex. Annecy, April 3, 2007. Mister President, In my quality of "political refugee" in Switzerland since March 15, 2000,and although I am an Italian national and thus citizen of the European Union, I ask herewith the protection of the European Council and the Committee of Ministers of the European Union at large. The reason for my demand is that Switzerland has deprived me of identity documents, of my Italian passport and of all the documents which belonged to me, especially those of Italian origin bearing the seal of the State. They represented the documented proof of my "international juridical condition" and thus of my right to demand asylum as is provided for by the Geneva Convention of 1951 and its subsequent modifications and ratifications which Switzerland recognized but which in reality, as in my case, it never applies. For the reasons which I shall expose hereforth, I see myself obliged to ask you, Mister President, that the lecture of any document related to me be prohibited not only to the persons of Italian or Swiss nationality accredited to the European institutions, but also to Italian and Swiss nationals, at whatever level and function. Truly, I fear they might alter, manipulate and/or falsify, with the intention to harm, the information I wish to give to you, as well as to those who are connected to your high mandate in the European Union, since I believe they can and should have knowledge of the present letter. This exlcusion should also be applied to certain judges of the European Court of Human Rights for reasons which I shall briefly expose. I ask your high function to please transmit to those who will be interested in the facts which I will expose hereafter. Mr Giorgio Malinverni, who is an "informer of the secret services of Switzerland" and also one of the most consulted experts of "Swiss constitutional law", elaborates juridical structures in the name of, and for the account of, Switzerland in order to deform, falsify and annul the sense of the laws of this "country" which is apparently and falsely respectful of the "rights and dignity of man". Any further explanation can be asked for by your services from the President of the European Count of Human Rights, by way of the file indicated later in this letter. Mr Vladimir Zagrebelsky, who is an equivocal individual who obeys not so much to the laws of the Italian State, but rather to "powerful groups" implicated in what must be qualified as "state massacres" that have bloodied my country and killed and maimed my fellow citizens. Any further explanation can be asked for by your services from the President of the European Count of Human Rights, by way of the file indicated later in this letter. The details regarding the two above mentioned persons can be obtained from the President of the European Court, M. Jean-Paul Costa. They are to be found in a file which I transmitted to him on March 26, 2007, accompanied by a registered letter adressed to him personally and sent from the postal office of the city of Sète in France. I of course tried to have the documents which I am sending you as well as this letter translated, but no one wanted to get involved, my request having provoqued fear in all those I contacted. I am not going beyond reality when I affirm that the country which has accepted me as "political refugee" inspires such fear in its habitants that they are afraid of the consequences for themselves and their families should they be connected to me and my story. After my arrival in Switzerland in 2000, I married a U.S. citizen who also has Swiss citizenship. This allowed me, after five years of marriage, to sollicit a "facilitated citizenship" which was regularly deposited with the documents required by Swiss national law. Numerous obstacles have been placed between me and the acquisition of Swiss citizenship which would have permitted me to live as a free person, normally and serenely, especially since I am already 65 and in very bad health. Swiss citizenship would also have allowed me to annul my condition as "refugee". You will note that in the letter sent to me by the Federal Department of Justice, Migrations Section, dated February 13, 2007, my file has been "suspended" due to a "pending penal inquest" which does absolutely not exist. From the letter dated February 24, 2007, you will note that I am a victim of blackmail by the Swiss State who refuses to give me back my identity papers unless I renounce explicitely to my condition of "refugee". I beg you to take into consideration that these letters bearing the emblem of Switzerland and the wording "Helvetic Confederation" do not have any stamps or postal markings. The letters contained in the envelopes were mere photocopies. All this confers a maximum of anonymity which permits the "autorities of the State the right (?)" to deny the origin and the contents of the letters, thus discouraging any person who would want to put the State in front of its responsabilities. I wish to inform you, Mister President, that contrary to what Switzerland pretends, this country proceeds to the illegal arrest of numerous political refugees sending them to other "nations" for obvious reasons, having them thus disappear officially "from their protection". It is not wrong to say that some of these people which were "arrested" are killed or sent to to their death. I have duly informed Mr Dick Marty of these facts as well as the central authorities in order to avoid any dammage against my person such as menace, extorsion etc. No one has ever contradicted me nor asked me to stand before justice. I ask that the above-mentioned "pseudo gentlemen" be deprived of their charges and of any other charges in the European Union and in the Council of Europe. The institutions and the people I indicate hereafter as being the "just and indispensable recipients" of the present letter and the letters mentioned above which all bear my signature, authentified by the Mayor of Sète in France, are the following : - the permanent representatives to the European Council (and not the State Council, as written erroneously in the Italian version) except for those from Italy and Switzerland; - the Committee of Ministers in charge, except for those from Italy and Switzerland; - the members of all interested committees. In the expectation of your confirmation of the present letter, I beg you to receive my great esteem and my respects.
Alessandro Vanno de'Vanni. Enclosed : above-mentioned documents



















GENERAL ATTORNEY U.S. DEP.OF JUSTICE 22.06.2007 PETITION To be given to Congress of the United States of America

GENERAL ATTORNEY U.S. DEP.OF JUSTICE 22.06.2007 PETITION To be given to Congress of the United Stat

Alessandro Vanno de’Vanni

Attorney General
Mr Alberto R. Gonzales
Secretary of de Department of Justice
950, Pennsylvania Avenue NW
20530 Washington, D.C.


PETITION

To be given to Congress of the United States of America


Dear Mr. Gonzales,
I have always worked with « intelligence » organizations linked to the United States of America (USA) and have always respected the principles of liberty and the fundamental rights of man as written down in the Constitution of the USA. I ask therefore to be auditioned by the competent commissions of Congress so as to verify the veracity of my declarations concerning
1. the attack made on the US Marines of the Peace Force in Lebanon in 1983 where 250 US citizens lost their lives ;
2. the terrorist plane attacks on the Twin Towers, September 11, 2001.
It was with a great sense of responsibility that I supplied the US, Italian and French authorities with information on these two events, respectively months and years before they took place. However, my warnings were in vain.
I also informed the Italian authorities of the terrible responsibility of certain national institutions which had planed and executed acts of terrorism which had killed and maimed many innocent victims, such as the attack on the Bologna train station in 1980.
Also in the 1980s, my US « intelligence colleagues » asked me to encourage the Italian Minister of Defense to modernize the fleet of military aircraft and bombardiers. They did not want to assume this responsibility directly and found in me the perfect advocate. After a ten-year minitious preparation, my purposed was attained when I publicly announced the obsolete, dangerous and costly aircraft fleet of the Italian Air Force. The consequences of this scandal, in which billions of dollars were stolen by political parties, by the Minister of Defense and by superior officers of the Italian Military Forces, and which had lead to the construction of war planes in a partnership with Brazil, obliged the Italian government to change their air fleet and purchase the F16 and/or F18 from the United States.
However, the Italian government also had to change the motors of the « Brazilian » planes with Rolls-Royce motors and modify the armament systems as well as all the electronic devices. The total cost of the acquisition and modification of the « Brazilian » airplanes cost the Italian tax payers almost 50 million dollars for each air plane !
My rending public the corruption of the Italian military forces clearly exposed me to great danger. Attacks upon my life were made on three occasions, the most serious one being a car « accident » in 1991 (my car was pushed over a cliff by a huge black station wagon). It was a miracle that I remained alive but I had over thirty broken bones and stayed paralyzed for six months !

Upon the advice of US intelligence officers, I left Italy in December 1992 when the Italian secret services (Sismi) and the Ministry of Defense were ready to arrest me for reasons which were perfectly ridiculous and entirely invented. I was ultimately declared innocent, except for a « detail » which was of interest to the Italian Military and for which I was condemned to a 10 months’ prison sentence. I decided to leave Italy and traveled to Nice, France and Barcelona, Spain until I returned to Italy in January 1994 since I had received notice that all charges against me had been dropped. However it was a trap. I was arrested on January 9, 1994, sent to the prison of Regina Coeli where I was kept in solitary confinement and tortured until my release from prison in August-September 1994 when I was put under house arrest. I had gone on a hunger strike for 40 days and the authorities were afraid of the reaction my possible death would provoke.
Again, in 1997, I was advised by US military officers to leave the country. The Italian secret services (Sismi) had given Judge Cherubini of the Court for Minors (a special court whose existence can be traced back to the time of fascism and which escapes all democratic control) the order to arrest me and place me in a mental institution ! I decided to go to Vienna, Austria, where I was under the protection of the Vatican, in order to submit myself to various psychiatrical, psychological, neurological and psychosomatical tests in specialized university clinics. The results of these tests evidenced that I was in perfect mental condition and a psychologically stable person. I sent the results of these tests back to Italy. The judge who had given the order to arrest me and put me in a mental institution was « eliminated ». After my return to Italy, I stayed in the house of Ms Anna Maria Angelotti Fileccia whose lived in the Park of Marcigliana. There I was in permanent contact with the US military forces who warned me that an assassination was planned to eliminate me.
In March 2000, I decided to definitely leave my country and all my possessions and asked Switzerland for political asylum, as provided for by the Geneva Convention of 1951 and the Rome Convention of 1950 and all their subsequent ratifications.
Switzerland maintains me in a condition of « imprisonment » for the past seven years and deprives me of all my human and social rights such as the sequestering of my passport and all my documents.
The Italian consulate in Geneva informed all the Italian regional associations as well as Italian nationals with whom I had relationships that they should avoid all contact with me. I have been branded as a « very dangerous » person and as a « professional killer ». Rumors have it that I am a false political refugee and a « dangeous mafioso » ! All these manœuvres are naturally intended to isolate me.
You will find here enclosed a letter I wrote to the President of the Council of Europe in which I evidenced the illegal actions of Switzerland since no one can be deprived of his identity and of his freedom of movement (1). Mr Davis, Secretary General of the Council of Europe, replied to my letter by saying that activities contrary to international law committed by Switzerland are a « private affair » which cannot be judged by the Court of Justice of the European Union ! Apparently the Council of Europe is composed of villains who wash their hands like Pontius Pilatus.
To overcome this blockade, I sent a petition to the European Union to ask its government composed of the European countries, to take this affair into its hands since the European Union must respect the Convention of Rome and the Declaration of human rights. Countries which do not comply must be judged and if they are found responsible, should be eliminated from the European Union. I am sending you herewith the petition (2) which I sent to the President of the European Parliament, M. Hans-Gert Pöttinger, in Italian (an English translation is in preparation).
The United States of America has observers in the Council of Europe as well as in the European Union. Instructed by your honor, they have the possibility to intervene on my behalf in these two institutions. Your country and your military industry know well all that I did in behalf of the freedom, the security and human rights in your country and in the rest of the free world, although my actions were often accomplished outside official rules and regulations. Your country now has the possibility to pay back its debt to me. I only ask that my fundamental rights be respected and that I be allowed to live the life of a free man.
Professor Charles A. Kupchan, expert for the Council of Foreign Relations and professor at Georgetown University, declares that “the security of the United States will come from a political Europe capable of asserting its values and of defending its interests in a complex and unstable world.” However Europe is represented by men and women that are traitors to its founding values of democracy, freedom and human rights and will thus never be able to defend the interests of the United States and the civilized world.
I will be grateful for any actions your country might undertake to help me achieve that aim.


Alessandro Vanno de’Vanni

Geneva, 22nd June 2007

Attached : My letter to the President of the Council of Europe
My letter to the President of the Parliament European Union


Avenue de Bel-Air 47A, CH-1225 Chêne-Bourg/Geneva, Switzerland

LA SUISSE, PAYS FAVORABLE AU TERRORISME INTERNATIONAL ?

ATTENTION !

Ceci est une traduction libre de la lettre envoyée à M. Christoph Blocher le 26 mars 2007, dont la version originale en langue italienne fait foi. Copie de cette lettre a été aussi envoyée par recommandé avec avis de réception a Monsieur l’Ambassadeur Guido Bellati Ceccoli, Président du Conseil de l’Europe, le 4 avril 2007 depuis le bureau postal d’Annecy. Elle portait le numéro RA 13-025-000-0 FR et fut reçue par le Secrétariat du Conseil d’Europe le 10 avril 2007.

Alessandro Vanno de’ Vanni


M. Christoph Blocher
Ministre du Département de justice et police
Palais Fédéral Ouest
3003 Berne


Genève, le 26 mars 2007



Objet : régularisation de mon dossier selon ce qui est prévu par l’ordonnance juridique interne et par le droit international, en conformant in primis la position de la Confédération Helvétique par rapport à la Convention de la Cour Européenne des Droits de l’Homme et à la Convention de Rome de 1950.



Monsieur Blocher,

Nonobstant la nombreuse correspondance que j’ai envoyée à votre attention, réexpédiée au fur et à mesure à qui de droit, sans que je n’obtienne jamais de réponse ni de la part de vos services ni de la part de vos collaborateurs directs, je vous invite à prendre les dispositions nécessaires afin que mon passeport me soit restitué. Celui-ci, émis en 1998 par la Préfecture de Rome et dont la validité est maintenant échue, a été séquestré par vos services.

Je vous invite également – il en va de mon droit et de votre devoir – à demander à vos services des migrations, anciennement l’Office fédéral pour les réfugiés, de me fournir un passeport provisoire qui me permette de me rendre aux Etats-Unis, en compagnie de mon épouse, Madame Manuela Birgit Vanno, qui est citoyenne helvétique mais également citoyenne américaine.

Vous n’avez pas pour habitude de traiter vos hôtes avec éducation et respect, moi, en l’occurrence, un simple « réfugié politique italien » et non pas un criminel comme votre gouvernement cherche à me faire paraître auprès de mes voisins, de mes connaissances et auprès les divers collaborateurs, espions et « paranoïaques froids « de vos services. Depuis sept ans, je suis un prisonnier dans votre « pays de montagnes », sans jamais avoir été l’objet d’un procès et sans avoir jamais été appelé à responsabilité pour un délit quelconque. Il n’existe en effet aucune condamnation à mon encontre, seulement de fausses suspicions et accusations continuelles, au sujet de délits imaginaires qui ne me concernent pas, de la part de vos services, c’est-à-dire de la part de la Confédération Helvétique, dans le but évident de m’infliger un dommage permanent. Ce sont là mes accusations auxquelles vous et la Suisse avez et aurez l’obligation de répondre.

Il est simplement honteux que la nation que vous représentez et qui se dit civilisée persécute les requérants d’ « asile politique » nonobstant la masse de documents prouvant une telle condition juridique. Mes documents, par exemple, qui portaient le sceau de l’Etat italien, prouvant et démontrant mon « statut international de refugié », sont un exemple éclatant.

Il est simplement honteux que vous m’ayez soumis à des anesthésies totales et à des interventions chirurgicales pour lesquels je n’ai jamais donné mon autorisation (Hôpital cantonal de Genève, Département de chirurgie abdominale, 4 juillet 2003, service du Dr. Roche) et que vous avez déclaré être « des erreurs ». Même Goebbels aurait été gêné de se comporter comme vous l’avez fait.

Il est simplement honteux que je sois drogué, sous prétexte de « recherches médicales indispensables », interrogé sous l’effet de médicaments hypnotiques (mai 2005, Département de pneumologie, Dr. Janssens). Aussi ai-je été volontairement mal soigné à cause d’un « accident suspect », qui m’a fait risquer la mort par infection cérébrale et choc anaphylactique (8 août 2003 et suivants).

Je dois me soumettre à des visites médicales délicates en prévision de deux interventions chirurgicales au Centre hospitalier de Lyon et vous me refusez le renouvellement de mon permis de séjour type « B », ainsi que celui de mon permis « N » en tant que réfugié, me laissant ainsi sans aucun document pouvant m’identifier et me permettre de me déplacer librement selon mes besoins et selon le droit qui découle de ma condition de « protégé à niveau international ».

Vous me soumettez à des contrôles soutenus, à de véritables tortures psychologiques, à des persécutions, à des souffrances inouïes. Comme toutes les nations non libérales et dangereuses pour le genre humain, vous utilisez les instruments subtiles et raffinés du mensonge, de la diffamation, de la peur distillée par vous-même, voulus et programmés pour créer autour de moi le « vide social et le mépris » empêchant chez moi tout acte, geste, et parole quels qu’ils soient. Pour le moment vous ne me tuez pas, uniquement parce que vous craignez que mes frères humains puissent riposter « œil pour œil, dent pour dent » à vos provocations et à vos comportements indignes de celui qui se fait appeler « homme et pays civilisé ».

Vous manipulez tous mes moyens de communication, du téléphone à l’ordinateur, du fax à l’automobile, établissant dans leur « mémoire » des informations que j’ignore, comme des lettres/documents jamais écrits ou des sites internet illégaux ou interdits dans votre pays, afin que vous puissiez utilisez le « chantage » comme « monnaie d’échange » avec moi.

Je vous rappelle que je suis Italien et fier de l’être et que dans mes veines coule le sang de mes ancêtres Romains, Latins, Pisans, Napolitains et Palermitains, lesquels n’étaient point des misérables tas d’ordures, comme l’atteste l’histoire et en particulier celle de ma grande et puissante famille des Princes Vanni.
Si je demandé l’asile à la Suisse, c’est à cause de la corruption des divers gouvernements et des divers « représentants du pouvoir judiciaire » de mon pays et leur implication directe dans des événements terribles tels que des attentats et la mort d’innocents. Ces crimes ont été perpétrés par eux pour des « raisons de pouvoir et de contrôle du peuple italien ». J’ai demandé asile suite à l’inutilité des dénonciations et des preuves irréfutables que j’ai déposées à tous les niveaux institutionnels italiens mais qui n’ont jamais fait agir ceux qui avaient l’obligation juridique de juger et/ou d’empêcher les assassins d’agir avant qu’ils ne passent à l’acte, comme au Liban aux dépens des Etats-Unis et de la France, entre autres.

Je vous annonce d’emblée que je recourrai au Conseil de l’Europe et au Tribunal Européen des Droits de l’Homme afin d’obtenir justice, même si ceci sera difficile, vu que je mes suis opposé au massacre de la Gare de Bologne, à celui des militaires américains et français à Beyrouth et à celui des Carabiniers à Nassyria en Iraq. J’avais à l’époque indiqué les mandataires et les exécutants à la Cour Européenne, entre autre, qui m’a ignoré, et dont le président de l’époque était M. Luzius Wildhaber, de nationalité suisse. Aujourd’hui je devrais me confronter à M. Giorgio Malinverni, également citoyen suisse, qui m’a déjà durement attaqué en diverses occasions, comme à l’Université de Genève (le 15 mars 2000 et aussi le 7 juin 2004) et aux Nations Unies à l’occasion de la réunion de la Commission pour les droits de l’homme (dont il ignore de toute évidence le sens) qui mettait en cause le Kuwait et « sa politique des droits humains ». M. Malinverni avait considéré ma présence en cette assemblée comme « dangereuse ».

Comme vous le savez très bien, aujourd’hui personne ne parle pas de mes « affaires » ni des vôtres car ce ne serait pas très gentil vis-à-vis du peuple suisse qui n’a rien à voir avec vous ni avec ceux qui vous ressemblent et qui les commandent et opèrent les « choix » dans l’intérêt du pays.
A ce peuple, j’ai fait don (à l’époque à Mme Ruth Dreifuss), en remerciement de la protection promise, de trente années d’études et d’expérimentations sur la n-acetylcistéine afin de guérir et éliminer des maladies qui sont encore aujourd’hui reconnues comme étant incurables. Vous, c’est-à-dire, le « Gouvernement » suisse, avez de manière ignoble soustrait à votre peuple et à moi-même, qui en a été le précurseur, cédant mes études à l’Italie, m’accusant de les avoir « volé ». L’Italie, de manière fourbe, a récemment publié ces études, faites dans une « Clinique de Milan », dans la prestigieuse New England Journal of Medicine, volume 345 :2773-2782, June 29, 2006, Number 26. Abstract : N-Acetylcysteine and Contrast-induced Nephropathy in Primary-Angioplasty

Si vous souhaitez m’emprisonner, faites-le. Et si vous voulez ensuite me traduire en justice, je serai heureux de raconter la quantité d’immondice avec laquelle vous vous habillez, la couvrant de fleurs des champs et vous savez pertinemment à quoi je me réfère et que je préfère garder pour moi, pour le moment (mais que pour ma sécurité j’ai déposé ailleurs, puisqu’il n’est pas prudent de se fier à vous et au gouvernement suisse. Monsieur Omar Yehya, citoyen Egyptien, m’avait averti que la « sécurité et la discrétion suisse était une invention publicitaire »). Vous pourriez également opter pour la « solution finale » : me faire mourir d’une maladie et/ou d’un accident, comme vous le faites souvent, en injectant à vos « ennemis » des nanocapsules létales, que vous pouvez activer au besoin, ainsi que vous l’avez fait avec moi.

Je m’y attends et je n’ai pas peur, tout comme je ne crains personne, sinon Celui que je prie et dont je suis certain qu’il ne peut être le même Dieu que vous invoquez souvent. Mon Dieu est juste.

Souvenez-vous que je suis toujours disposé à vous rencontrer, à vous regarder droit dans les yeux et à soutenir votre regard. Ne vous cachez pas derrière un doigt. Vous vous dites entier. Vous dites qu’il faut avoir du courage et de la détermination. Quelle meilleure occasion que de me rencontrer, moi, l’agneau indigne du Seigneur ?

Recevez mes salutations distinguées.

Alessandro Vanno


P.S. Vanno est bien mon nom de famille, dont je suis très fier, mais c’est aussi un titre concédé à l’un de mes ancêtres, un jurisconsulte, Vanno étant un terme latin, utilisé également par Virgile dans ses Georgiche, qui signifie « celui qui trie, évalue et sépare ce qui est juste de ce qui est injuste ».
Je vous assure que je fais honneur à mon nom, à mon italianité offensée par des salauds, des assassins voleurs et escrocs et je fais honneur à la maison qui m’héberge, la Suisse, aux citoyens suisses, mais ni vous, ni aucun autre arrogant tel que vous qui piétinez mes droits de « réfugié » ne devez me manquer de respect. N’est-ce pas ?


PETICION PARA EL PARLAMENTO DE LA UNION EUROPEA, LLENO DE ITALIANOS SIN ALCUN VALOR

Alessandro Vanno de’ Vanni



Petizione diretta al Parlamento Europeo



Io sottoscritto Alessandro Vanno de’ Principi Vanni, Marchese di Roccabianca, cittadino italiano, nato a Roma il 17 dicembre 1941 e residente in Svizzera, Ginevra, sin dal 15 marzo dell’anno 2000, nella mia qualità di

Rifugiato Politico italiano

sottopongo al Parlamento Europeo per il tramite del suo Presidente Hans-Gert Pöttinger, la presente petizione, seguendo i dettami indicati dalla stessa Unione Europea e che chiedo sia resa di pubblico dominio, oltre ad essere trasmessa a tutti i signori parlamentari, nelle loro lingue nazionali ovvero nelle lingue ufficiali della U.E., presenti nel Parlamento Europeo.

Preciso meglio il mio status, poiché la mia attuale condizione non è corrispondente al diritto internazionale, previsto dalle Convenzioni delle Nazioni Unite e della Unione Europea. Infatti, nella realtà oggettiva il mio status è da equipararsi a quello di prigioniero nella Confederazione Elvetica, poiché da questa sono stato privato, sin dal mio arrivo ovvero da ben sette anni, di ogni identita, di ogni documento personale, del passaporto e della carta d’identità. La Svizzera, in documenti ufficiali, dichiara che la mia nazionalità è “sconosciuta” ed il luogo della mia nascita è “ignoto” .

La Svizzera, impedendomi ogni movimento, ogni libertà, spogliandomi di ogni diritto sociale ed umano, tenendomi sotto il piu’ stretto controllo da parte della polizia e dei suoi servizi d’intelligence, nonostante sia sposato con una cittadina degli Stati Uniti d’America nonché cittadina Elvetica e quindi con diritti nazionali da me automaticamente acquisibili, con ogni probabilità intende favorire il Governo ed i Servizi Segreti della vicina Italia al fine di occultare le dirette ed incontrovertibili complicità e responsabilità dell’Arma dei Carabinieri e di altri apparati dello Stato italiano in vicende di terrorismo e di stragi programmate, demandate oppure eseguite direttamente, come quella della Stazione di Bologna.

Dette stragi ed i loro responsabili, furono da me inutilmente denunciate alla magistratura ed alle massime autorità istituzionali italiane, con atti pubblici notificati ai diversi destinatari per il tramite della Corte di Appello di Roma. Chiarisco che nessuno mi ha mai accusato dei reati di “calunnie aggravate per accuse di omicidio” e di altri gravi delitti penali, facendomi rischiare la condanna della prigione a vita. Nessuna autorità pubblica ha mai negato la veridicità delle mie accuse e nessun magistrato ha mai agito, nonostante l’azione penale, in Italia, sia assolutamente obbligatoria e nel caso riferito, essa sia automatica : e per il denunciatore e per i criminali denunciati .

Tra quanti furono i destinatari degli “atti notificati” da me inviati, vi erano necessariamente anche i vari Presidenti delle Camere e del Senato, succedutisi negli anni, partendo dal 1984/5 sino alla data della mia fuga dall’Italia nel marzo 2000.
Tra costoro vi erano Giorgio Napolitano, oggi Presidente della Repubblica, piuttosto che Enrico Berlingue e la sua segretaria Maria (?), Oscar Luigi Scalfaro piuttosto che Bettino Craxi o Claudio Martelli od anche Silvio Berlusconi, piuttosto che numerosissimi Ministri della Giustizia e dell’Interno, la quasi totalità in carica in quegli anni.
Gli eventi vissuti in prima persona e dichiarati in atti, tutti documentati, sono stati la causa prima delle persecuzioni, delle torture e degli attentati alla mia vita, da me subite in Italia e successivamente ragione della mia fuga e successiva richiesta di “asilo” alla Svizzera.

Chiarisco che sin dal 1978 ho fatto parte di una struttura riservata dello Stato italiano, denominata “SuperSismi” e di essere stato in strettissimi rapporti con vari Ministri della Difesa e vari Capi di Stato Maggiore, per il tramite del Vice Capo di Gabinetto della Difesa, Generale Francesco Pugliese, al quale ero stato presentato e garantito dal Governo di una nazione facente parte del Patto Atlantico o NATO. Con mio grande orgoglio sono stato colui che ha promosso ed organizzato la protezione dei militari “Bersaglieri” italiani facenti parte dell Forza Multinazionale di Pace dell’ONU, inviate in Libano nell’estate del 1983 ma sono anche uno tra coloro che avvertirono della preparazione dell’attentato ai Marines USA (circa 250 morti sul campo, altri successivamente e moltissimi feriti gravi) e dei Paracadutisti della Legione Straniera, Francia (circa 60 morti sul campo. Idem come per gli USA). Nel mio caso l’avvertimento avvenne consegnando un documento scritto in italiano da parte di una autorità Libanese e consegnato all’allora Ministro della Difesa in carica ed al Capo di Stato Maggiore. Evento che riferii al Generale Comandante dei Cappellani Militari, il quale potrà riferirne, intimo della mia famiglia, poi divenuto Arcivescovo di Siena ma che riferii e documentai successivamente alla CNN/USA sede di Roma.

Nulla potendo per potermi lecitamente e legalmente opporre agli abusi dei quali sono vittima da ben sette anni, prevaricazioni contrarie alla Convenzione di Roma del 1950, instituente i Diritti Umani dei cittadini della nascente Unione Europea e dalla stessa Svizzera ratificata con tutte le sue modifiche aggiornate, mi sono rivolto al Presidente del Parlamento Europeo, il Signor Hans-Gert Pöttinger, a mezzo lettera raccomandata con ricevuta di ritorno, spedita da Annecy, Haut Savoie, Francia, in data 25 aprile 2007. La lettera era anche indirizzata al Presidente del Comitato dei Ministri degli Esteri del Consiglio d’Europa, al suo Segretario Generale Mister Terry Davis, alla sua Vice Madame Maud de Boer-Buquicchio ed al Presidente della Corte Europea per i Diritti dell’Uomo il francese Jean-Paul Costa. A quest’ultimo e per suo tramite, alla Corte Europea per i Diritti dell’Uomo, chiedevo l’apertura di un dossier a mio nome contro la Confederazione Elvetica, per “omesso rispetto dei diritti umani” e molto altro.
Corrispondenze, le mie, interamente notificate a mezzo lettere raccomandate con avviso di ricezione.

Contemporaneamente alle sopra ricordate mie comunicazioni, ho informato della mia condizione e del mio “stato di prigioniero senza processo impostomi dalla Svizzera”, anche il Presidente de l’Assembla Parlamentare del Consiglio d’Europe (APCE), il Segretario Generale dell’Assemblea Mister Mateo Sorinas Balfegó, i Presidenti ed i Vice Presidenti di tutte le Commissioni instituite ed operative in seno all’Unione Europea ed al Consiglio d’Europa ed a mezzo corrispondenza normale tutti, indistintamente, i rappresentanti delle nazioni facenti parte del Consiglio dell’ Europa e singolarmente ogni loro Ministro degli Esteri, escludendo da tali comunicazioni gli Alti Rappresentanti dell’Italia e della Svizzera.
Nessuno mi ha degnato di una risposta, cosi’ come nessuno ha avuto il coraggio e la responsabilità di contestare i fatti da me documentati. Documenti e prove a me pervenuti poiché a me spediti dalle istituzioni svizzere, scritti su fogli intestati “Confederazione Elvetica”, a firma dei vari funzionari.

Nessun Alto Rappresentante della Unione Europea ha, per esempio, contestato la mia denuncia nei confronti di due giudici componenti la Corte Europea dei Diritti dell’Uomo, i quali dovrebbero come minimo essere cautelativamente sospesi dai loro incarichi non essendo, queste persone, compatibili con le funzioni di “terzietà, giustizia e serietà” richieste dal loro Alto Incarico e da me, come sopra ricordato, inutilmente denunciate, poiché con me in contatto e da me negativamente conosciute.
Nessuno ha tenuto conto che il signor Dick Marti, presidente di una delle tante ed inutili “commissioni” dei diritti dell’uomo dell’Unione Europea, mentiva e mente spudoratamente, poiché la stessa Svizzera, ove il Marti ricopre altissime cariche pubbliche, si è resa responsabile di “cattura e rinvio anonimo di cittadini stranieri richiedenti asilo in territorio svizzero”. Le modalità di tali catture, investiva ed investe innumerevoli persone ed istituzioni, come ad esempio l’Assicurazione contro le Malattie Helsana SA (obbligatoria in Svizzera anche per chi non possiede documenti o dichiara dati falsi. La Helsana è controllata dal Governo Confederale, quindi doppiamente complici nei fatti descritti) e/o come la Fondazione Fareas del Cantone di Vaud. Questi individui rapiti dalla Svizzera, colpevoli di essere mussulmani, vengono spediti nei loro probabili paesi, ossia nelle nazioni falsamente dichiarate, per poi “scomparire” e magari essere uccisi. Marti e l’Unione Europea biasimano gli USA e Guantanamo. Senza Vergogna ! Dovrebbero guardare “il palo conficcato nei loro occhi” e non la “pagliuzza” negli occhi dell’America, la quale ha sofferto tanta distruzione e tanti morti. Salvo non siano in accordi tra di loro, per gabbare il “mondo” illudendolo di una “giustizia inesistente”.

La copia della stessa lettera e relativi documenti allegati portanti l’intestazione della Confederazione Elvetica e spedita da Annecy, Francia, il 25 aprile 2007, al Presidente del Parlamento Europeo, Hans-Gert Pöttingen, è stata da me inviata a mezzo corrispondenza semplice a tutti i piu’ alti rappresentanti dello stesso Parlamento Europeo, ivi compresa la Signora Angela Merkel nella sua qualità di Presidente di Turno della Unione Europea e, provocatoriamente, a tutti i rapresentanti italiani del Parlamento Europeo. Come facilmente prevedibile, anch’essi si sono nascosti dietro un dito, come è costume tra gl’italiani vigliacchi, corrotti ed incapaci.

Al popolo della Confederazione Elvetica e non già ai suoi rappresentanti e/o al suo Governo, nei primi giorni del 2001 indirizzando un documento alla Signora Ruth Dreyfuss, allora Ministro dell’Interno e della Salute, facevo dono dei miei ultratrentennali studii sugli effetti curativi della n-acetilcisteina, per la cura di malattie ancora oggi ritenute incurabili, sulle modalità della sua somministrazione ed abbinamento ad altre molecole farmacologiche, nonché sulla serie di sperimentazioni. La ragione di tale mio dono, senza alcuna contropartita a mio favore, era indirizzato alla gente svizzera in segno di gratitudine per la protezione che credevo mi fosse stata concessa dal loro governo e d’altra parte per rendere disponibile un mezzo di cura e guarigione, gratuitamente, a chiunque nel mondo ne avesse avuto bisogno.

La Svizzera ed in particolare la signora Dreyfuss, rifiutava con una inopportuna lettera, la mia offerta mentre contemporaneamente avvertiva le autorità italiane dei miei studii, “forse da me sottratti a dei centri di ricerca medica”. Furbescamente, l’Italia ha ottenuto la pubblicazione internazionale di studii sulla n-acetilcisteina, eseguiti da parte di una “clinica privata di Milano” nella quale è interessato il “gruppo” di Silvio Berlusconi e che ha recentemente pubblicato nella prestigiosa The New England Journal of Medicine, volume 345:2773-2782, June 29-2006, Number 26. Abstract: N-Acetylcysteine and Contrast-Induced Nephropathy in Primary-Angioplasty la sintesi delle sue e mie ricerche. Traendone giusto prestigio, ingiusto guadagno e danno per l’umanità intera oltre che per il popolo svizzero, destinatario del mio dono.
Mentre io sono ignorato e derubato e non cerco né gloria, né danaro ma mi preoccupo della vita e del benessere dei miei simili, la Svizzera fa il “favore” agl’italiani. In cambio di cosa ? Forse la Signora Dreyfuss o i “7 nani” del Consiglio Federale hanno tratto vantaggi per loro stessi o per la “piccola ed indifesa Svizzera” ?
Per tutto quanto sopra preliminarmente esposto, a chiarimento e diritto a che la presente mia Petizione sia accolta e resa di pubblico dominio, nell’interesse di 500 milioni di cittadini europei,
CHIEDO

Che le persone nominate e facenti parte dell’Unione Europea, cosi’ come del Consiglio d’Europa e/o di ogni altra istituzione sovranazionale Europea, alle quali ho inviato i documenti comprovanti la mia illecita condizione di “prigioniero” in Svizzera, qualunque sia l’incarico da questi svolto, tali persone siano allontanati dalle loro cariche con biasimo pubblico e che le Istituzioni Europee dibattano del mio caso, nelle opportune sedi, nell’interesse generale di chiunque si trovi nella “disperata condizione di richiedente asilo”.
Chiedo che la Svizzera sia sospesa dal Consiglio d’Europa e da ogni altro consesso internazionale, sin quando tale paese non si sarà omologato agli obblighi imposti dalla Convenzione di Roma del 1950 e successive Ratifiche.
In fede
Alessandro Vanno de’ Vanni



Ginevra, 17 giugno 2007


P.S. Il Presidente Pöttinger, se lo vorrà, potrà delucidare ai membri del Parlamento Europeo che fine fanno in Europa i bambini rapiti e che a migliaia scompaiono ogni anno, svaniti nel nulla. La maggior parte di loro non è morta, ma è stata rapita e venduta per rifornire gli Harem di ricchi pervertiti, senza alcuna religione o etica umana.
Le autorità italiane, da me avvertite con tanto di documenti, mi risposero che quello era il “...prezzo per non subire attentati terroristici ed ottenere l’energia necessaria (petrolio) per far marciare l’economia, la quale oggi è in via di trasferimento in Cina, India ed ovunque alberghi la miseria.
Signor Pöttinger, perché si continuano a rapire i nostri figli e lei non fa niente ?




PETICION PARA EL GOVIERNO SUISO, AQUE' PARE SUS PERSECUSIONES CONTRA SUS DEMANDADORES DE ASILO

Alessandro Vanno de' Vanni



Ginevra, 28 giugno 2007




Gentile Signor W.Eberle,

abbia la cortesia di considerare che, la presente mia è una Petizione, la quale e per suo altissimo tramite dovrà essere trasmessa al Parlamento della Confederazione Elvetica e quindi resa di pubblico dominio ed i suoi contenuti destinati ai rappresentanti del popolo che ne dovranno valutare l'impatto politico cosi' come un mio suggerimento per l'istituzione di una Commissione bi-Camerale, che ne vagli le gravi accuse, nonché le inadempienze commesse dai vari Rappresentanti di Governo : Federali e Cantonali e per queste colpe, accertate, siano essi privati delle loro attuali cariche pubbliche, poiché in contrasto con gl’interessi e l’immagine internazionale della Svizzera nel mondo.

Mi permetta, Signor Eberle, farle notare che, nonostante le abbia scritto direttamente, nella sua qualità di Segretario Generale del Dipartimento Federale di Giustizia e nonostante abbia scritto a varie autorità dello stesso Dipartimento, non ho mai avuto il piacere di una qualsiasi risposta, seppur negativa ai miei interessi.

Le ho scritto, cosi' come ho scritto al Ministro Blocher, piuttosto che ad altri specifici uffici federali, chiedendo a lei cosi' come agli altri, che mi sia restituito il diritto ad esistere e che mi siano restituiti i miei documenti d'identità, passaporto compreso.

Documenti che mi avete sequestrato da ben oltre 7 anni, quasi un decennio, privandomi di una consistente parte della mia vita, rubandola ingiustamente. Quasi foste dei ladri e non degli statisti quali dovreste essere e la sottrazione del mio passaporto è contraria al diritto interno ed al diritto internazionale. Nessuno puo' essere privato della propria identità e nazionalità.

Mi sono rivolto alla Corte Europea per i Diritti dell'Uomo di Strasburgo, la quale ignora semplicemente di riconoscere i miei diritti, non rispondendo alle mie istanze giuridicamente pertinenti e consegnate secondo le leggi, el Diritto Internazionale e la Convenzione di Roma del 1950.

Ho rivolto una Petizione al Parlamento Europeo per il tramite del suo Presidente il Signor Pötterli ma anche questi si nasconde faticosamente ditro un dito, da uomo coraggioso e rispettoso delle leggi e dei Diritti Umani. La sua lapide, un giorno, ci ricorderà questo uomo straordinario ed incorrotto.
Al Presidente del Parlamento Europeo ho chiesto la "messa in mora" della Svizzera da ogni consesso internazionale, ignorando la Confederazione Elvetica i Diritti Umani, poiché priva di ogni giusto diritto i suoi "richiedenti asilo", come pubblicamente denunciato da me ed "anche" da Amnesty International !

Come vede, Signor Eberle, da italiano fiero non mi nascondo falsamente e stupidamente dietro un dito e come Ettore Fieramosca mi batto lealmente, cosi' come si batterono a suo tempo i fondatori della Confederazione Elvetica, dei quali - sembra - si sia persa ogni memoria, non avendo lasciato eredi.

Il 15 marzo 2000, Idi di Marzo e fine secondo millennio, giunsi a Ginevra e chiesi "asilo politico" alla Svizzera ma non arrivai a "mani vuote". Al contrario : vi consegnai le prove che alcuni vostri "altissimi rappresentanti" a livello Cantonale (Gran Consiglio Ginevra) e Federale (Berna), vendevano informazioni riservatissime riguardanti operatori finanziari stranieri operanti in Svizzera, per un minimo di centomila dollari, sino a qualche milione di dollari per ognuna delle "informazioni" cedute, facendosi pagare il loro tradimento alla Svizzera, su conti bancari esteri alle Bahamas. Non conti Svizzeri. Non è prudente.

Vi avevo anche informati, prove e nomi alla alla mano, che gente pericolosissima, cittadini e discendenti da antenati svizzeri, erano compromessi in eventi delittuosi a livello internazionale e che avevano programmato l'eliminazione e la morte del Signor Procuratore Generale di Basilea, cosi' come, anni addietro, l'eliminazione della Signora Carla Del Ponte, a causa della sua "discreta collaborazione" con il giudice Giovanni Falcone, ucciso alla vigilia del grande cambiamento politico italiano, elezioni nazionali del 1992 e crollo dell'accordo politico detto CAF. Gli stessi suoi connazionali, ricattavano anche i titolari europei di depositi bancari "cifrati" aperti presso banche elvetiche per aver sottratto , questi stupidi europei, ricchezze mai dichiarate al fisco dei loro singoli paesi, guadagnando cifre considerevoli, senza rischio alcuno.

Al mio arrivo in Svizzera, feci dono al suo popolo senza assolutamente nulla chiedere e quale segno di gratitudine per l'accoglienza riservatami, di miei trentennali studi e sperimentazioni sugli straordinari effetti curativi e farmacologici della n-acetilcisteina. La Signora Dreyfuss a nome del Consiglio Federale, rifiuto' tale mio dono ma trasmise alle autorità italiane ogni informazione che proveniva dai miei scritti. Alcuni mesi addietro una clinica di Milano, legata ai capitali di Berlusconi il quale aveva avuto dalla Svizzera i dettagli dei miei studii , ha ottenuto un encomio internazionale sugli effetti curativi della n-acetilcisteina, confermando "in toto" le mie sperimentazioni a voi consegnate. Il popolo svizzero non è stato derubato di una sua proprietà, da me donata, e dei relativi diritti ?? Non è rubare quel che avete fatto ?

Non soltanto, Signor Eberle, tradite la mia ed altrui fiducia sul sistema "discreto e rispettoso" della Svizzera, ignorando i miei diritti e calpestando i diritti i dei vostri stessi cittadini ma calpestate il lavoro secolare svolto dai vostri antenati, tradendo la fiducia che essi hanno saputo conquistarsi con un duro e serio lavoro e che ha permesso alla Svizzera il suo attuale benessere. Fatti salvi i vostri mercenari lanzicchenecchi al servizio di questo o quel Re e fatti salvi i vostri mercenari moderni, occultati dietro "organizzazioni umanitarie svizzere" da me incrociati in molte nazioni.

La mia lettera ha anche lo scopo di renderla attenta, Signor Eberle, sul fatto che, il suo Dipartimento Federale di Giustizia a Berna e responsabile della Polizia Federale, mi fa da quest'ultimo spiare impedendo ogni mio contatto con chiunque, compresa la mia, quasi, novantenne madre, isolandomi dal mondo e da ogni rapporto con altri, facendomi avvicinare da vostri agenti come il signor Frederic della Caritas Internazionale di Ginevra e funzionario dell'Ufficio Internazionale del Lavoro o come il signor de Payer Bertrand, il quale manomette il mio computer e vi aggiorna sulla mia vita quotidiana. Da altri, ad esempio giornalisti di Ginevra, fa dichiarare che io sono un "pericolosissimo mafioso e non un rifugiato" viste le mie lontane origini siciliane di Palermo, ma anche di Pisa, di Roma e di Napoli.

E' assolutamente normale che i miei vicini o le persone che avvicino per normalissime ed innoque ragioni di vita quotidiana, si allontanino ed abbiano paura. Chi non avrebbe paura di un "killer della mafia" ??? Ma le maldicenze e l'agire disonestamente non fanno parte dei principii dello Stato di Diritto e sono indegni delle vostre autorità pubbliche e delle vostre istituzioni. Anche se il suo paese portasse a termine la volontà di eliminarmi, anche fisicamente, come già avvenuto in piu' occasioni ed inutilmente denunciate, non potete pensare di lavarvi le mani come Ponzio Pilato. Io vi accuso e vi mostro il volto della vergogna e della menzogna elvetica. In un paese ove vige la legalità, si deve agire all'interno delle leggi e queste debbono essere rispettate da tutti, anche dal suo Ufficio.

Anche se "rifugiato" io ho diritto alla mia vita, alla mia responsabile libertà ed al vostro rispetto e non è concesso che la Svizzera, per il tramite de il signor Procuratore Generale di Ginevra, possa permettersi di dichiarare pubblicamente in atti che un tale Fernando Pedro alias Vieira, non sia perseguibile penalmente e posto in prigione, dopo che mi aveva sequestrato e chiesto un riscatto per la mia liberazione, nonostante sia stato colto sul fatto, armi in pugno, dalla stessa polizia giudiziaria di Ginevra.

Non è permesso che un tale Benedetto Toscanelli della città di Worb, Berna, mi rivolga folli quanto di gravissime accuse di "minacce di morte contro dei bambini" , dopo aver ricevuto documenti ed ordini da Roma, Italia, via fax, e la giustizia penale non lo arresti e la Polizia Federale non verifichi le ragioni della sua presenza sul suolo Svizzero mente il giudice penale che oggi lo dovrebbe giudicare, sembra avere molte "difficoltà" a farlo.

Non è consentito che l’avvocato Yves Bertossa, figlio del magistrato federale Bertossa, menta in un publico dibattito avanti il Tribunale Cantonale delle Assicurazioni e che le Poste Svizzere di Losanna facciano false dichiarazioni allo stesso Tribunale e che la Helsana Assicurazioni convalidi tutti queste menzogne documentali avanti il Presidente de Tribunale, senza che il Tribunale ed i suoi giudici nulla facciano per bloccare tali menzogne e che le denuncie, prove alla mano, consegnate al suo Presidente, non abbiano minimamente scalfito le responsabilità di questa gente, evidentemente abituata e complice nella costruzione di falsi documenti pubblici ai danni di ignari ed innocenti cittadini.
Se un imprenditore straniero, dovesse trovarsi a dibattere in un tribunale svizzero, dovrebbe valutare che le stesse autorità pubbliche elvetiche sono autorizzate a “costruire” dei falsi e che gli autori di tali falsi non correranno alcun pericolo, poiché protetti da “Alti complici”.

Non è possibile che l'Università e l'intero Consiglio di Stato del Cantone di Ginevra accusi la sua funzionaria, la Signora Manuela Vanno, mia moglie, con tanto di denuncia penale ed il rischio della condanna a 5 anni di carcere e relativa rovina economica, senza doverne subire le conseguenze. Non è credibile che il Cantone di Ginevra spenda oltre mezzo milione di franchi per "finanziare" con false prove la rovina di mia moglie ed indirettamente la mia, senza che nessuno chiami alle proprie responsabilità penali e finanziarie questi criminali, poiché hanno compiuto crimini gravissimi contro una innocente, mia moglie, rivelatasi essere lei vittima predestinata dal potere malato elvetico.

Mia moglie, dopo anni di costose quanto ingiuste lotte giudiziarie si è rivelata essere assolutamente estranea ai fatti dei quali era accusata con documenti ufficiali. I documenti "di prova" dei reati addossati a mia moglie, si sono rivelati essere falsi e costruiti "ad hoc" dalla stessa Università e dagli stessi componenti del Consiglio di Stato, in particolare nella persona del suo attuale presidente Charles Beer. Dov'è lo "Stato di Diritto" e dove sono le leggi, Signor Eberle ?? Dov'è il Signor Christopher Blocher , Ministro della Giustizia Federale Elvetica ??

Sia cortese, Signor Segretario Generale del Dipartimento Federale di Giustizia e Polizia di Berna, W. Eberle, mi risponda qualsiasi cosa lei ritenga opportuno essere il suo punto di vista, nel rispetto delle leggi del suo paese e nel rispetto delle Convenzioni e del Diritto Internazionale, cha la Svizzera ha accettato e garantito di rispettare.

Io, cittadino italiano, contrario alla strage della Stazione di Bologna ed altre stragi e violenze commesse dall'Arma dei Carabinieri e da altre istituzioni dello Stato italiano con il fine di ottenere il controllo assoluto della nazione e delle sue istituzioni democratiche, inutilmente denunciate alla magistratura italiana cosi' come ai tanti "rappresentanti politici di ogni tendenza" e per queste ragioni torturato e perseguitato nel mio paese ed a causa di cio' "rifugiato politico" in Svizzera, la ringrazio per l'attenzione e le porgo distinti saluti.


Alessandro Vanno de' Principi Vanni,
Marchese di Roccabianca e uomo d'onore italiano.


P.S. Signor Eberle, in occasione dei suoi 50 anni mi permetta indirizzarle i miei migliori auguri di Buon Compleanno.


Dipartimento federale di giustizia e polizia
Signor Walter Eberle
Segretario Generale del Dipartimento
Palazzo federale ovest
CH-3003 Berna




47a, Avenue de Bel-Air, 1225 Ginevra

Le 11 septembre 2001. Quelle vérité ? Le Département de la Justice des Etats-Unis préfère l'ignorer

Ce message a été envoyé au Procureur Fédéral du Dépatement de Justice des Etats unis et aux divers sièges du FBI dans les divers états des Etats-Unis.



Traduction libre de l’italien en français :

« Messieurs, puisqu’il n’est pas facile d’entrer en contact avec le FBI et encore moins avec votre Département de la justice, j’ai cherché, avec difficulté, vos adresses e-mail, bien que pas nombreux, pour vous envoyer deux lettres significatives.

Je suis prisonnier en Suisse, mais officiellement « réfugié politique Italien ». A quoi est due ma condition ? Environ dix ans avant les événements du 11 septembre 2001 à New York, j’avais consigné aux plus hautes autorités judiciaires italiennes les preuves démontrant que des musulmans préparaient un attentat contre des gratte-ciels aux Etats-Unis au moyen d’avions. Les informations me sont parvenues du Ministère de la Défense, où je collaborais avec le super-SISMI, les services militaires d’intelligence, contrôlés quasi totalement par les Carabiniers, émanation de l’OVRA, les services secrets de l’époque fasciste qui travaillaient étroitement avec les fascistes allemands et français. Ils étaient au courant mais ne voulaient pas avertir les Américains pour ne pas en subir les conséquences, craignant d’autres bombes et d’autres morts par des militants Palestiniens ou par d’autres. Donc, et cela me peine pour vous, les Etats-Unis savaient depuis dix ans déjà qu’il y aurait de graves attentats. En septembre/octobre 1993, Madame Hillary Rodham (Clinton) a reçu de ma part une lettre recommandée avec avis de réception, envoyé du bureau de poste de la Place du Président Wilson à Nice, en France. Dans cette lettre il y avait les preuves de la préparation de l’attentat. Vous êtes le FBI, vous avez par conséquent un pouvoir de contrôle. La poste de Washington D.C. devrait posséder le registre, tout comme la France. L’ancien Président français, François Mitterand, le Ministre de l’Intérieur (Defense aussi ?), M. Charles Pasqua, le Premier Ministre, Edouard Balladur, ont tous reçu les mêmes documents que vous. Les Ambassades américains de Rome, Paris et Londres ont également reçu copie de tous les actes en ma possession.

Mais tout ceci n’est que la répétition de ce qui s’est arrivé en 1983 aux Marines américains et aux Légionnaires français à Beyrouth, au Liban. Avant que ne meurent tant de vos soldats les Ambassades et les officiers de liaison ont été avertis, car j’étais assigné à la « protection des forces de paix des Nations Unies » au Liban. Aucun Italien n’a été blessé ni a même eu le moindre refroidissement ! A ce moment-là j’ai su ce qui se préparait contre vous. Depuis des années, je demande à la CIA, au FBI, au Département de la Justice, à la magistrature de n’importe quel Etat d’être interrogé, car ceux qui ont trahi votre peuple et vos soldats devraient être sévèrement punis, ne serait-ce que pour bloquer le processus du terrorisme qui se répand dans le monde entier et qui représente pour vous un grand danger. Pour sauver le filet de « protection internationale », les Etats-Unis ne font et ne disent rien contre l’Italie et leurs alliés européens qui (à l’époque) savaient mais n’ont rien dit. La preuve en est que les Carabiniers ont été massacrés à Nassirja en Irak. Ils sont morts parce que Berlusconi voulait se faire pardonner par les Etats-Unis et de leurs Forces Armées parce que l’Italie avait trahi et ainsi ils ont « organisé chez eux » un beau massacre. Il existe un enregistrement vidéo fait durant l’attaque contre les soldats italiens et on peut entendre distinctement la voix d’un Italien qui vocifère ordres et directives. Ecoutez cet enregistrement.

Jusqu’à maintenant, j’ai eu la vie sauve, mais cela ne vaut pas la peine de vivre en tant que persécuté et accusé d’être le cerveau d’actes terroristes passés, présents et futurs. Le fait que j’appartienne à la Maçonnerie ou que j’ai été un Professeur au Vatican ne signifie pas que je conçoive la terreur comme une forme de « changement politique ». Mais jusqu’à aujourd’hui, qu’a donc fait la grande et puissante Amérique pour corriger ses erreurs ? Rien. Si la puissante Amérique a du courage, qu’elle le démontre et qu’elle m’appelle pour témoigner. Je lui raconterai combien de merde couvre ses « dirigeants ». Ci-joint, deux de mes dernières lettres importantes, l’une adressée à Christoph Blocher, boss du Gouvernement Suisse et l’autre au Président du Parlement Européen.

Beaucoup de mes cousins, leurs fils et les descendants de Daniele Vanno, mon grand-oncle, vivent aux Etats-Unis.

Tous mes instruments de travail, y compris l’ordinateur, sont contrôlés par les Services Secrets suisses mais le SISMI est informé de toutes mes initiatives. Aussi ce message sera non seulement enregistré mais également bloqué. Je le réexpédierai s’il le faut.

Ma façon d'écrire et de décrire les faits que j'ai malheureusement vécus sont très synthétiques et apparemment "désordonnés". Mais en réalité ils seront très bien décodés par mes maîtres et patrons de services decrets des Etats-Unis d'Amérique.

Salutations, Alessandro Vanno
GENEVE SUISSE