mercredi 4 juillet 2007

EL CONSEJO DE EUROPA LOS SORDOS Y LOS MUDOS DE LA HUMANIDAD - AHORA EN FRANCAIS - ENGLISH

LE CONSEIL DE L'EUROPE : les sourds et les muets de l'Humanité FRANCAIS - ENGLISH

Attention :

Ceci est une traduction libre de la lettre envoyée le 03 avril 2007 à M. Guido Bellati Ceccoli, President du Conseil de l’Europe, dont la version originale en langue italienne fait foi. Cette lettre a été envoyée par recommandée avec avis de réception le 4 avril 2007 depuis le bureau postal d’Annecy. Elle portait le numéro RA 13-025-000-0 FR et fut reçue par le Secrétariat du Conseil d’Europe le 10 avril 2007.



Alessandro Vanno de’Vanni

A l’attention personnel de
Monsieur l’Ambassadeur
Guido Bellati Ceccoli
Président des délégués des Ministres
Conseil de l’Europe
Avenue de l’Europe
F-67075 Strasbourg Cedex



Annecy, 3 avril 2007


Monsieur le Président,

En ma qualité de « réfugié politique » en Suisse depuis le 15 mars 2000, et bien que de nationalité italienne et par conséquent citoyen de l’Union Européenne, je demande par la présente la protection du Conseil de l’Europe et du Comité des Ministres de l’Union Européenne dans son ensemble. La raison en est que la Suisse m’a privé de tout document d’identité, de mon passeport italien et de tous les documents m’ayant appartenus, tout spécialement ceux provenant d’Italie, munis du sceau de l’Etat et qui représentaient la preuve documenté de ma « condition juridique internationale » et de mon droit à la demande d’asile qui en découlait, selon ce qui est prévu par la Convention de Genève de 1951 et les modifications et ratifications de la Suisse qu’elle reconnait mais qu’en réalité, comme dans mon cas, qu’elle n’applique jamais.

Pour les raisons exprimées ci-après, je me vois obligé de vous demander, Monsieur le Président, que la lecture de tout document me regardant soient interdit non seulement aux représentants italiens et suisses accrédités auprès des institutions européennes, mais aussi aux personnes de nationalité italienne et helvétique, à quelque niveau et quelque fonction que ce soit. En effet, je crains qu’ils puissent altérer, manipuler et/ou falsifier avec dol prémédité ce que je soumets à votre attention et à ceux qui sont en corrélation avec votre très haute fonctions au sein de l’Union Européenne et que je crois qu’ils peuvent et doivent avoir connaissance de la présente lettre que je vous adresse.

Cette exclusion doit également être appliquée à certains juges de la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour des raisons que je vais vous exposer de manière synthétique. Je demande à votre haute fonction de bien vouloir transmettre à ceux qui sont et seront intéressés par la connaissance des faits que je v ais vous exposer ci-après.

Giorgio Malinverni, qui est un « informateur des services de sécurité de la Suisse » et aussi l’un des experts les plus écoutés de « droit constitutionnel helvétique », construit des structures juridiques au nom et pour le compte de la Suisse afin de déformer, falsifier et annuler le sens des lois de ce « pays » apparemment et faussement respectueux des « droits et de la dignité de l’homme ». Toute explication ultérieure pourra être demandée par vos services à Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme par le truchement du dossier indiqué ci-après.

Vladimir Zagrebelsky, que est un personnage louche obéissant non pas tant aux lois de l’Etat italien, mais plutôt à des « groupes de pouvoir » impliqués dans ce qui doit être qualifié de « massacres d’Etat » qui ont ensanglanté mon pays et tué et blessé mes concitoyens. Tout renseignement ultérieur pourra être demandé par vos services à Monsieur le Président de la Cour Européenne des Droits de l’Homme par le truchement du dossier indiqué ci-après.

Les détails qui regardent les susmentionnés pourront être demandés à Monsieur le Président de la Cour Européenne, M. Jean-Paul Costa. Ils se trouvent dans un dossier que je lui ai remis le 26 mars 2007, accompagné d’une lettre recommandée avec avis de réception à son attention et expédié de l’office postal de la Ville de Sète en France.

J’ai évidement essayé de faire traduire en français et en anglais les documents que je vous remets, y compris la présente lettre, mais personne n’a voulu se charger d’une telle traduction, ma demande ayant suscité chez tous une vraie crainte.
Pourtant je ne crois pas aller au-delà de la réalité en affirmant que le pays qui m’accueille en tant que « requérant d’asile » inspire à ses résidents une crainte si élevée qu’ils craignent de graves conséquences pour eux-mêmes et leurs familles.

Après mon arrivée dans la Confédération Helvétique en 2000, je me suis marié avec une citoyenne des Etats-Unis qui possède également la nationalité suisse. Cette situation m’a permis, après cinq années de mariage, de solliciter la « nationalité facilitée », régulièrement déposée avec les documents requis par le droit national suisse. De nombreux obstacles ont été placés entre moi et l’acquisition de la nationalité suisse qui m’aurait pourtant permis de vivre en tant que personne libre, dans la normalité et la sérénité, d’autant plus que j’ai déjà 65 ans et suis gravement malade. La nationalité suisse m’aurait également permis d’éventuellement annuler ma position de « requérant d’asile ».

Vous constaterez à la lecture de la lettre qui m’a été envoyée par le Département Fédéral de la Justice, Section Migrations, en date du 13 février 2007, que mon dossier a été « suspendu » pour cause d’ « enquête pénale pendante », pourtant inexistante.
La lettre datée du 24 février 2007, vous permettra de relever que suis victime d’un chantage de l’Etat helvétique qui refuse de me restituer mes papiers d’identité, sauf si je renonce expressément à ma condition de « refugié ».
Je me permets de vous faire noter que les lettres munies de l’emblème de la Suisse et portant le libellé de « Confédération Helvétique » sont dépourvues de timbres et de tampons de la poste. Le papier à lettres qui se trouvait dans les enveloppes est une simple photocopie. Tout cela fait preuve d’un maximum d’anonymat, permettant à « l’autorité de cet Etat de droit ( ?) » de nier l’origine et le contenu, décourageant ainsi toute personne qui voudrait appeler cet Etat à ses responsabilités.

Je vous communique, Monsieur le Président, que contrairement à ce qu’affirme la Confédération, elle procède à l’arrestation illégale de nombreux requérants d’asile, les renvoyant vers des « nations » tiers pour des raisons prévisibles, les faisant ainsi disparaître officiellement « de leur protection ». Il n’est pas faux de dire que quelques-unes de ces personnes « arrêtées » sont tuées ou envoyées à la mort.

J’ai dûment informé M. Dick Marty de ces faits, comme également les autorités centrales et locales, afin d’empêcher tout dommage contre ma personne comme la menace, l’extorsion etc. Personne ne m’a jamais démenti ni appelé en justice.
Je demande que les « pseudo messieurs » susmentionnés soient éloignés de leur charge et de toute autre charge au sein de l’Union Européenne et du Conseil de l’Europe.

Les institutions et les personnes que j’indique ci-après comme étant les « destinataires justes et indispensables » de la présente lettre, des lettres susmentionnées ainsi que de la lettre datée du 26 mars 2007 qui porte ma signature authentifiée par le syndic de la Ville de Sète en France, sont les suivants :
- Messieurs les représentants permanents auprès du Conseil de l’Europe (et non pas du Conseil d’Etat, erreur dans l’original en langue italienne) à l’exclusion de l’Italie et de la Suisse ;
- le Comité des Ministres en charge, à l’exclusion de l’Italie et de la Suisse ;
- les membres de toutes les commissions intéressées.

Dans l’attente de votre confirmation de réception de la présente, je vous prie de recevoir l’expression de ma grande estime et de mes sentiments respectueux.



Alessandro Vanno



Annexes : documents susmentionnés

ENGLISH VERSION

The European Council : the Deaf and the Dumb of Humanity
Attention : This is a free translation of the letter I sent to M. Guido Bellati Ceccoli, President of the European Council on April 3, 2007. The Italian version here published is the official version. The letter was sent registered on April 4, 2007 from the postal office in Annecy, in France and bore the number RA 13-025-000-0. It was received by the European Council's office on April 10, 2007. Alessandro Vanno de'Vanni.
To the personal attention of Mr Ambassador Guido Bellati Ceccoli, President of the European Council, F-67075 Strasbourg Cedex. Annecy, April 3, 2007. Mister President, In my quality of "political refugee" in Switzerland since March 15, 2000,and although I am an Italian national and thus citizen of the European Union, I ask herewith the protection of the European Council and the Committee of Ministers of the European Union at large. The reason for my demand is that Switzerland has deprived me of identity documents, of my Italian passport and of all the documents which belonged to me, especially those of Italian origin bearing the seal of the State. They represented the documented proof of my "international juridical condition" and thus of my right to demand asylum as is provided for by the Geneva Convention of 1951 and its subsequent modifications and ratifications which Switzerland recognized but which in reality, as in my case, it never applies. For the reasons which I shall expose hereforth, I see myself obliged to ask you, Mister President, that the lecture of any document related to me be prohibited not only to the persons of Italian or Swiss nationality accredited to the European institutions, but also to Italian and Swiss nationals, at whatever level and function. Truly, I fear they might alter, manipulate and/or falsify, with the intention to harm, the information I wish to give to you, as well as to those who are connected to your high mandate in the European Union, since I believe they can and should have knowledge of the present letter. This exlcusion should also be applied to certain judges of the European Court of Human Rights for reasons which I shall briefly expose. I ask your high function to please transmit to those who will be interested in the facts which I will expose hereafter. Mr Giorgio Malinverni, who is an "informer of the secret services of Switzerland" and also one of the most consulted experts of "Swiss constitutional law", elaborates juridical structures in the name of, and for the account of, Switzerland in order to deform, falsify and annul the sense of the laws of this "country" which is apparently and falsely respectful of the "rights and dignity of man". Any further explanation can be asked for by your services from the President of the European Count of Human Rights, by way of the file indicated later in this letter. Mr Vladimir Zagrebelsky, who is an equivocal individual who obeys not so much to the laws of the Italian State, but rather to "powerful groups" implicated in what must be qualified as "state massacres" that have bloodied my country and killed and maimed my fellow citizens. Any further explanation can be asked for by your services from the President of the European Count of Human Rights, by way of the file indicated later in this letter. The details regarding the two above mentioned persons can be obtained from the President of the European Court, M. Jean-Paul Costa. They are to be found in a file which I transmitted to him on March 26, 2007, accompanied by a registered letter adressed to him personally and sent from the postal office of the city of Sète in France. I of course tried to have the documents which I am sending you as well as this letter translated, but no one wanted to get involved, my request having provoqued fear in all those I contacted. I am not going beyond reality when I affirm that the country which has accepted me as "political refugee" inspires such fear in its habitants that they are afraid of the consequences for themselves and their families should they be connected to me and my story. After my arrival in Switzerland in 2000, I married a U.S. citizen who also has Swiss citizenship. This allowed me, after five years of marriage, to sollicit a "facilitated citizenship" which was regularly deposited with the documents required by Swiss national law. Numerous obstacles have been placed between me and the acquisition of Swiss citizenship which would have permitted me to live as a free person, normally and serenely, especially since I am already 65 and in very bad health. Swiss citizenship would also have allowed me to annul my condition as "refugee". You will note that in the letter sent to me by the Federal Department of Justice, Migrations Section, dated February 13, 2007, my file has been "suspended" due to a "pending penal inquest" which does absolutely not exist. From the letter dated February 24, 2007, you will note that I am a victim of blackmail by the Swiss State who refuses to give me back my identity papers unless I renounce explicitely to my condition of "refugee". I beg you to take into consideration that these letters bearing the emblem of Switzerland and the wording "Helvetic Confederation" do not have any stamps or postal markings. The letters contained in the envelopes were mere photocopies. All this confers a maximum of anonymity which permits the "autorities of the State the right (?)" to deny the origin and the contents of the letters, thus discouraging any person who would want to put the State in front of its responsabilities. I wish to inform you, Mister President, that contrary to what Switzerland pretends, this country proceeds to the illegal arrest of numerous political refugees sending them to other "nations" for obvious reasons, having them thus disappear officially "from their protection". It is not wrong to say that some of these people which were "arrested" are killed or sent to to their death. I have duly informed Mr Dick Marty of these facts as well as the central authorities in order to avoid any dammage against my person such as menace, extorsion etc. No one has ever contradicted me nor asked me to stand before justice. I ask that the above-mentioned "pseudo gentlemen" be deprived of their charges and of any other charges in the European Union and in the Council of Europe. The institutions and the people I indicate hereafter as being the "just and indispensable recipients" of the present letter and the letters mentioned above which all bear my signature, authentified by the Mayor of Sète in France, are the following : - the permanent representatives to the European Council (and not the State Council, as written erroneously in the Italian version) except for those from Italy and Switzerland; - the Committee of Ministers in charge, except for those from Italy and Switzerland; - the members of all interested committees. In the expectation of your confirmation of the present letter, I beg you to receive my great esteem and my respects.
Alessandro Vanno de'Vanni. Enclosed : above-mentioned documents



















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